La Saga Maeght - Le livre

 Éditions Robert Laffont
60 photos documents
Prix : 21,50 €

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Yoyo Maeght, petite-fille de Marguerite et Aimé Maeght, pose son regard sur la vie d’une communauté où se retrouvent artistes, écrivains, mécènes, cinéastes, musiciens et les tous les amoureux des arts. Elle détaille l’épopée de ses grands-parents dont le nom est maintenant indissociable de l’histoire de l’art du XXe siècle.

 

Yoyo Maeght, part sur les traces de son grand-père, ce surdoué visionnaire, galeriste, éditeur, mécène qui bâtit un empire artistique et créa la Fondation Maeght à Saint-Paul-de-Vence. Elle livre une série d’anecdotes inoubliables et amusées sur les communautés artistiques et un regard avisé sur l’art contemporain.

Aimé Maeght a connu un destin fulgurant. Orphelin devenu l’ami de Bonnard, Matisse ou Braque. Grâce à ces rencontres décisives la galerie Maeght ouvre à Paris en 1945, y seront exposés maîtres modernes et talents en devenir. Puis Aimé forge d'autres magnifiques et solides amitiés avec Miró, Giacometti, Léger, Chagall, Calder, Tàpies, Chillida... mais aussi avec Malraux, Prévert, Aragon, Char, Reverdy, Sartre ou Genet…

Le livre égrène une incroyable galerie de portraits avec foule de souvenirs et témoignages révélateurs de la fantaisie et de la détermination des artistes, des années 1930 à aujourd'hui. Dans un tourbillon de vernissages, fêtes, expositions, Yoyo dresse un portrait truculent du monde de l’art et raconte avec amusement la complicité qui la relie à Miró, Chagall, Braque, Prévert, Montand qui ont guidé ses pas dès son enfance. Yoyo Maeght, née en 1959, perpétue l’esprit Maeght en consacrant sa vie à l’art et à l’architecture, en tant que galeriste, éditrice ou commissaire d’exposition, pour son récit,

« Yoyo Maeght raconte cette époque flamboyante dans un livre qui retrace l’incroyable quotidien d’une famille hors norme. » Le Parisien.


La Saga Maeght dans la Presse :

Mon œil sur l'art - Jacques Bouzerand :
Ce livre intelligent, fourmillant d’anecdotes et de détails savoureux,  on le dévore comme un polar d’été. C’est de prime abord le récit fabuleux d’une plongée familière, familiale, intime dans ce panthéon des artistes constituant l’entourage amical, prévenant du grand-père fondateur : Aimé Maeght. Pas des artistes au rabais, des peintres du dimanche ou des barbouilleurs à la petite semaine… Non, ce sont les plus grands artistes du siècle, les créateurs les plus inspirés, des icônes de l’histoire de l’art…"

Le Figaro - Bertrand de Saint Vincent :
"Quand on s'appelle Yoyo, il faut s'attendre à en connaître des hauts et des bas, mais là, ça donne le tournis… Yoyo décrit les vautours, les coups de poignard, la jalousie…"

 Salon Littéraire - Jean-Paul Gavard-Perret :
"Le livre de Yoyo Maeght est comme un bouquet d’anémones sur une nappe mise. Là où tant de pisse-vinaigre régleraient leurs comptes celle qui devient mémorialiste de sa saga familial offre un livre pudique. Il fourmille plus d’informations que d’anecdotes. A partir de l’aventure de son grand-père Yoyo remonte l’histoire jusqu’à nous…"

 Paris Match - Elisabeth Couturier :
"Pourquoi dévoiler vos secrets de famille ? Dès la mort de mon grand-père, Aimé Maeght, j'ai voulu écrire son histoire. Il n'existait aucun livre sur lui, sur sa galerie ou sur sa fondation. Pourtant, quelle épopée fantastique ! Vous racontez aussi les terribles coulisses de la "saga Maeght". Au départ, je voulais raconter tout ce qui était visible : les expositions, les relations directes avec les artistes. Finalement, je livre toute l'histoire Maeght à travers mon propre regard. Le fait d'avoir rompu avec ma famille explique cette liberté…"

Beaux-Arts - Thierry Taittinger :
"Triste épilogue pour celle qui n'aura pas le plus démérité parmi les héritiers Maeght. Autodidacte à l'inaltérable bonne humeur, Yoyo Maeght avait appris sur le tas, arpentant inlassablement foires, vernissages et biennales à travers la planète depuis trente ans. Si elle avait été plus écoutée, les entreprises Maeght, jadis à la pointe des avant-gardes, n'auraient sans doute pas raté le tournant de l'art contemporain au début des années 1980…"

Le Télégramme - Propos recueillis par Éliane Faucon-Dumont :
Plaisant ou douloureux à écrire ce livre ? "Je parle de gens que j'ai follement aimés. Papy est toujours vivant pour moi, tout comme Miró, Tzara, Prévert... Malraux et les autres. J'ai beaucoup fouillé les archives pour écrire. C'était comme un jeu de piste avec mon grand-père…"

 Le Flâneur des deux monts :
"Le livre est passionnant. Nous découvrons cette famille hors-norme, originale, un peu folle... et follement libre. Trois générations de goût, de flair, d'aventures..."

 Les couleurs de la Vie :
"Un livre magnifique d’amour pour son grand-père. Aucune haine envers ceux qui l’ont rejetée. Un constat tout simplement pour vivre pleinement sa liberté. Aimer, rire,, deux mots qui s’accordent tellement entre eux et le sourire de Yoyo est si beau. Merci Yoyo pour ce bonheur de lecture…"

Les Germanopratines :
"Électron libre de cette famille, c’est pourtant Yoyo qui semble avoir conservé tout l’esprit de son grand-père : cette énergie inébranlable, cette joie de vivre et cette curiosité qui la poussent toujours plus loin. Elle nous laisse pour la première fois entrer dans l’intimité de la famille Maeght et nous fait partager les souvenirs de trois générations qui cohabitèrent, s’aimèrent et se déchirèrent. Une histoire familiale où se mêlent joies et drames…"

La Libre Belgique - Guy Duplat :
"Sort un livre explosif de Yoyo Maeght, la petite-fille du fondateur de la dynastie, Aimé Maeght. Dans "La saga Maeght", elle rend à la fois un magnifique hommage, émouvant et personnel à son grand-père, raconte la vie de rêve qu'elle a eue enfant et nous entraîne dans l'intimité des artistes, mais dans la seconde partie du livre, elle décrit les déchirements du clan et dévoile sa version de combats fratricides autour d'un héritage financier et artistique…"

Le Journal des Arts - Jean-Christophe Castelain :
"Le portrait d'Aimé Maeght qu’en dresse sa petite fille Yoyo est particulièrement louangeur. En seulement quelques années «papy» a élevé à un niveau international la petite galerie créée pendant la guerre à Cannes, tiré des milliers de lithographies originales et conçu un lieu inédit d’exposition d’art moderne et contemporain à Saint-Paul-de-Vence avec le concours de l’architecte Sert et des artistes Giacometti, Miró, Calder. Yoyo, qui voudrait apparaître comme la seule héritière intellectuelle de son grand-père, ne cesse de magnifier sa personnalité généreuse, visionnaire, entrepreneuriale, avant-gardiste, de louer sa complicité avec « mamy »…"

 Le Carnet de Myriam Thibault :
"Ce livre, qui a eu un succès considérable cet été, devrait tomber entre les mains de tous les amoureux de l’art, et de tous les passionnés de la peinture, et de tous ces grands artistes qui ont fondé l’art du XXe siècle…"

Unidivers - Eric Rubert :
"C’est une partie de l’histoire de l’art du début de la moitié du XXe siècle, que l’on découvre, une période ou Yoyo rappelle avec nostalgie combien Paris était le centre du monde en la matière. Les discours de Bonnard qui ouvrent la voie à une réflexion sur le Tableau et son état d’inachèvement permanent, l’assurance de Giacometti, encore inconnu, qui exige d’Aimé de le choisir en exclusivité, la reconnaissance tardive de Calder, tous ces moments privilégiés font l’intérêt majeur de ce livre…"

Textes.net - Françoise Neveu :
"C'est d'abord un livre sur l'art comme une nécessité vitale dans une part propre à tout être. Et par son existence, c'est un livre sur la nécessité de l'écriture pour évoquer tous les autres arts, en extraire par devers soi tous les enseignements, rendre aux autres, au grand-père tout ce qu'on lui doit de ce qu'il a donné, certes, presque surtout de ce qu'on lui a pris - ce qu'il nous a appris.

La Griotte :
"Yoyo nous emmène aussi dans les années 1960-1970 dans les rues de Saint Paul de Vence le mythique village d’art, dévoile les coulisses du restaurant la Colombe d’Or où les stars se retrouvaient le temps de l’été…Un pavé (dans la mare) passionnant à dévorer sans tarder au moment où la fameuse fondation de Saint-Paul de Vence vient de fêter ses 50 ans et son dix millionième visiteur…"

Vox Patrimonia - Julie Schweitzer :
"Dans un livre poignant et polémique, à mi-chemin de la biographie et du témoignage, gardienne de la mémoire familiale, Yoyo en profite pour régler ses comptes avec un père, Adrien, moins soucieux qu’elle de l’esprit, tant originel qu’original, des Maeght. Les grands-parents ont fait descendre la divinité dans le temple de l’art. Elle, elle veille à ce qu’il ne soit pas confié aux seuls marchands. Difficile de lui donner tort au vu des récentes expositions de la Fondation…"

Saisons de culture - Mylène Vignon :
"Dès l’enfance, elle a ressenti la nécessité de sauvegarder, tel un bien précieux, chaque moment, chaque rencontre ; autant de pépites qu’elle pressentaient déjà comme exceptionnelles. Son quotidien, elle le partageait avec Miro, Picasso, Prévert, Braque, Giacometti, Malraux, Calder, Chagall, Tapiès… Aujourd’hui, à travers ce livre - témoignage de plus de 330 pages, elle nous offre de très grands moments de l’histoire de l’Art, des années soixante à nos jours…"

L'Avenir - Michel Paquot -
"Si la Fondation de Saint-Paul-de-Vence porte le nom de ses grands-parents, Yoyo Maeght estime, dans un livre choc, que leur âme n’y vit plus. La saga Maeght va faire du bruit dans le monde de l’art français. Son auteure y dénonce avec force la façon dont est aujourd’hui gérée la Fondation créée par ses grands-parents…"

Nova Planet - Jean Rouzaud
"Yoyo a décidé de raconter une nouvelle version de la saga, angle « backstage ». Yoyo, la cinquantaine, soulève tout d’un coup le voile sur la part d’ombre de sa famille, ce que Graham Green appelait le « facteur humain », et ce, dans un livre de 333 pages, un pavé dans la piscine de la fondation… C’est ultra-rare en France, l’histoire d’une fortune familiale révélée puis démontée aussi crûment, surtout par l’un de ses membres.

Blog des Arts :
"Faites-vous votre idée personnelle, en lisant cet ouvrage stupéfiant qui met définitivement à mal, un mythe sculpté dans le marbre, de notre histoire et de notre patrimoine artistique..."

 Le Soir :
"Yoyo plonge au cœur de la saga familiale. Et celle-ci est loin d'être un long fleuve tranquille. En rendant hommage à son grand-père, Yoyo Maeght dévoile également les côtés les plus détestables de ses héritiers. Son livre devient ainsi un étonnant témoignage sur le formidable parcours de son grand-père et la vie artistique au XXe siècle tout autant que la description de la lente désagrégation d'une famille…"

Dernière Heure DH Belgique - Isabelle Monnart
Dans la folle insouciance des années 50 et 70, on croise tout ce que le monde de l'art compte de gens importants… Aux choses graves, Yoyo oppose un sourire radieux, qui dit, en substance, que tout ça, au fond, a si peu d'importance au regard de la vie... La sienne fut douce, elle ne s'en cache pas.

Nice-Matin - Franck Leclerc :
"Dans le livre qu'elle consacre à La Saga Maeght, Yoyo raconte le parcours lumineux de ses grands-parents. En conclusion, que vous inspirent l'œuvre et la stature d'Aimé Maeght ? Un immense respect. Je suis admirative de son incroyable ténacité. Son parcours prouve que rien ne résiste au travail, dès lors que l'on se fixe des objectifs, fussent-ils des rêves, des utopies…"

Bulletin de l'antiquaire :
"Dans La Saga Maeght Yoyo Maeght donne vie à cette merveilleuse histoire de l'art et de la littérature de la seconde moitié du XXe siècle dont la galerie les éditions et la fondation Maeght ont été et restent des acteurs incontournables. Comme elle sait si bien le faire Yoyo Maeght rend chaque œuvre chaque histoire chaque personnage vivants en les éclairant des détails fondamentaux qui leur permettent d'apparaître au lecteur dans toute leur complexité et toute leur force…"

L'Echo Belgique :
"Une vraie saga que le livre passionnant qu'elle vient de publier et qui, loin du sentiment de sérénité que procure le musée azuréen, livre, de la Fondation Maeght, un tableau contrasté. Yoyo, petite-fille des fondateurs Aimé et Marguerite, publie un livre à la fois admiratif pour les fondateurs et assassin pour certains héritiers…"

Le Point - Judith Guidicelli :
"«Une merveilleuse aventure», C'est ainsi qu'Aimé Maeght orphelin devenu l'un des plus grands marchands d'art du XXe siècle, qualifiait sa vie. Yoyo vient de publier La saga Maeght : elle y dit sa vérité avec un ton qui devrait encore attiser les braises du foyer…"

Le Parisien Magazine : Mathias Galante :
"Yoyo Maeght, petite-fille d'Aimé et de Marguerite, raconte cette époque flamboyante dans un livre qui retrace l'incroyable quotidien d'une famille hors norme…"

Midi Libre :
"Yoyo Maeght retrace cette Saga Maeght qui compte Marguerite, l'épouse d'Aimé, et leur fils Adrien, avec leurs lumières et leurs ombres. L'héritage des Maeght fut aussi une lourde charge à assumer, des moments d'exaltation et de déchirements…"

Ouest-France
"Yoyo Maeght, petite-fille d'Aimé, raconte le quotidien de sa famille élargie, où artistes et écrivains se côtoient et travaillent Elle livre ses souvenirs d'une vie passée dans un tourbillon de vernissages, fêtes, expositions, projets, échecs et réussites, drames et joies, entre Paris et Saint-Paul-de-Vence…"

Var Matin :
"Les passionnés d'art et de ce lieu magique qu'est la fondation, à Saint-Paul-de-Vence, se rueront sur ce livre qui leur dévoilera bien des secrets sur la belle histoire d'une famille pas comme les autres…"

Le Figaro :
"Parmi les belles surprises de cet été on retiendra le livre de Yoyo Maeght. C'est une tout autre famille que nous fait découvrir Yoyo Maeght dans son passionnant livre de souvenirs. La petite-fille d'Aimé Maeght, galeriste, collectionneur d'art, éditeur et mécène, ami des artistes y évoque ces grandes figures qu'elle à croisées…"

Arts Magazine :
"Dans mes deux premiers livres, j’ai retracé l’histoire des Maeght côté public… Cette fois, je la fais vivre côté privé. Je raconte mes souvenirs. Et ceux recueillis à travers des confidences, de ceux qui l'ont connu. Pour le découvrir, et comme je suis plutôt pointilleuse, j’ai passé des heures à étudier des journaux d’avant-guerre, écouter des documents sonores ou visionner des vidéos retrouvées auprès de collectionneurs…"

My Boox :
"Pourquoi on aime La Saga Maeght : Ce livre de témoignage subjectif, comme le précise l’auteur, est un mélange d’admiration, de piété familiale mais aussi de règlements de compte. On suit le destin des Maeght à travers lequel se révèle aussi une part passionnante et intime de l’histoire de l’art moderne avec, entre autres, Bonnard, Matisse, Miró ou encore Chagall et Giacometti, amis d’Aimé Maeght…"

 

 blyoy